Rapport de situation planétaire Covid du 25 Septembre 2021 0h00 GMT
Observations factuelles : À l’échelle planétaire, la contamination et la mortalité sont, au 25 Septembre 2021 et après 6 milliards de doses de vaccins injectées, de 50% supérieures à ce qu’elles étaient le 25 septembre 2020, à la même date, sans vaccination, à la suite d’une première épidémie très meurtrière. (Contamination : 293 500 nouveaux cas/jour, moyenne sur 7 jours, en septembre 2020 sans vaccin, 481 800 en septembre 2021 avec vaccin) ; (5 165 décès/jour en Septembre 2020, 7 930 décès/jour en Septembre 2021) …
Les pays les plus pauvres, dont 2,1% seulement de la population serait vaccinés, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille).
Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vaccinés (de 60% à 90%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 1, voire à 2 ou 3 pour mille).
Après 18 mois d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,610 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout « famines »). La population terrestre continue donc d’augmenter, malgré la Covid au rythme élevé de 70 à 73 millions d’habitants par an.
En 20 mois d’épidémie, 4,75 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la Covid » alors que plus de 120 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes…
Il faut donc RE…LA…TI…VI…SER, apprendre à « vivre avec », apprendre à « traiter précocement » pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation, en pleine épidémie, au nom de la « rentabilité », alors que notre population vieillit et donc se fragilise et faire semblant de s’étonner (pour nos politiques et leurs « conseils scientifiques » sponsorisés par « Big Pharma »), que nos structures hospitalières soient saturées.
En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné, depuis le début, des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.